Cécile Aubry embrassant son fils Mehdi El Glaoui, en 1969. Son début d'actrice internationale semble très prometteur (Cécile Aubry fait la couverture de l'édition du {{Date}} du magazine Life) et elle obtient son premier grand succès dès ses débuts avec le film Manon, de Henri-Georges Clouzot tourné en 1949.
Elle signe ensuite un contrat avec la 20th Century Fox, mais ne tourne que dans un petit nombre de films. Dans La Rose noire, on la voit aux côtés de Tyrone Power et d'Orson Welles et, dans Barbe-Bleue, elle est la dernière femme de cet inquiétant personnage, interprété par Pierre Brasseur dans la version française et par Hans Albers dans la version allemande.
Cependant, après avoir épousé à la Mosquée de Paris en 1956 Si Brahim el Glaoui, fils de Thami El Glaoui, pacha de Marrakech, elle abandonne son métier d'actrice. En 1956, après la naissance du fils issu de cette union — le futur acteur et réalisateur Mehdi El Glaoui — elle rentre en France où elle devient écrivain pour enfants et adapte elle-même ses romans pour la télévision. Cela lui vaudra son plus grand succès, la série Belle et Sébastien, un feuilleton télévisé de 39 épisodes diffusés en trois parties de 1965 à 1970 sur la première chaîne de l'ORTF et dans lequel le rôle principal sera joué par Mehdi.
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Elle meurt au centre hospitalier de Dourdan des suites d'un cancer du poumon à l'âge de 81 ans.
Après des obsèques en l'église de Dourdan, elle est inhumée au cimetière communal de Montrouge situé à Paris ({{14e}}), à côté de sa mère.