Lauréat de la fondation Zellidja, il a étudié au lycée Condorcet.
Journaliste à Paris Match en 1956, il obtient l'autorisation, grâce à l'intervention de Vincent Auriol, de faire un grand reportage en Union soviétique : avec le reporter photographe Jean-Pierre Pedrazzini, accompagnés de leurs épouses et du journaliste soviétique Slava mais sans agents de l'Intourist, ils effectuent un périple de {{Unité}} en trois mois au volant de la première voiture occidentale à pénétrer dans l'URSS post-stalinienne, une Simca Marly.
En 1956, ils avaient obtenu l’autorisation de faire ce reportage de la frontière avec la Pologne jusqu’au Caucase.
Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence.
Suite au succès de son roman La Cité de la Joie, vendu à plusieurs millions d'exemplaires et dont la moitié des droits d'auteur sont reversés pour lutter contre la misère en Inde, il a créé sa propre association du même nom. Son livre a reçu le Prix Vérité de la ville de Le Cannet en 1986. Le roman fut adapté au cinéma, sous le même titre. Dominique Lapierre parle couramment le bengalî.
Le {{Date}}, le gouvernement indien a décerné à Dominique Lapierre la médaille Padma Bhushan pour les actions en faveur des plus démunis qu'il mène dans le pays depuis de nombreuses années.