Victor Jara
Santiago, 11 septembre 1973. 14 heures, précisément. Le président socialiste Allende vient de se donner la mort d'une balle dans la tête avec son AK-47. Les putschistes viennent de réduire à néant les espoirs d'un pays et d'une gauche plurielle qui se voulait unificatrice. Le général Pinochet, appelé le « traître » par le leader socialiste quelques heures avant le coup fatal, régnera d'une main de fer sur le pays pendant seize années et les stigmates de sa dictature sanglante resteront à jamais gravés dans l'esprit des Chiliens. En parallèle se joue l'avenir d'un artiste populaire non moins fameux. Son nom : Victor Jara ; son arme : une guitare.
Importance matérielle
1 vol. (166 p.) : ill. en coul. : 25 cm
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Disponible
Livre
Bibliothèque de La Chapelle-Heulin
B ONT